Grippe H1N1 : même pas peur...

Publié le par Delphi


Suite à une conférence édifiante à laquelle j'ai assisté la semaine dernière, je me dois de vous faire un second article sur la grippe H1N1.
Depuis une semaine au Québec, il est possible pour tout le monde de se faire vacciner. Nous avons donc droit à cet ultime privilège de la piqûre magique, qui fera de nous des êtres insubmersibles face à la méchante pandémie dont on ne sait plus si c'est la première, la deuxième ou la dernière vague.
Seulement voilà, depuis le début, nous n'avons pas envie de nous faire vacciner et la pression des medias, pourtant très affutée, n'y change rien.

Pourquoi, me direz-vous ?

D'un point de vue éthique, nous n'avons pas envie de contribuer à cette arnaque médicale organisée de main de maître par l'institution financière la plus redoutable qui soit actuellement, l'Organisation Mondiale de la Santé.

D'un point de vue médical, nous sommes en bonne santé, avons une hygiène de vie saine et surtout, le plus important, cette grippe ne parvient pas à nous effrayer, comme c'est le cas pour la majorité d'entre nous.

En effet, la peur, largement alimentée par les medias, les politiques et certains professionnels de la santé, n'est pas sans conséquence sur la propagation de cette épidémie. Comme l'a dit le médecin que j'ai rencontré durant la conférence, l'aspect psychologique joue un rôle essentiel.

Ce n'est pas un hasard si cette grippe survient quelques mois après le début de la crise financière. A titre de comparaison, la grippe espagnole est apparue en 1918, soit juste après un conflit mondial de grande envergure. Or,  il paraîtrait que le virus de la grippe H1N1 ne serait qu'une mutation de cette grippe espagnole et qu'elles posséderaient toutes deux les mêmes symptômes mentaux.

Dans un contexte particulèrement difficile, l'être humain est plus faible et devient la cible idéale des principales maladies.

Moralité de l'histoire, le vaccin le plus efficace contre cette grippe semble être la confiance en soi et en ses actes. Mais quoi qu'il en soit le plus important, dixit le docteur, c'est de croire en ce que l'on fait.

To be "vaccin" or not to be, à vous de décider et non aux médias et autres instances suprêmes.

Pour conclure, je vous laisse sur un extrait d'un documentaire édifiant, "Silence, on vaccine" sur les effets secondaires des vaccins.


Pour voir le documentaire dans sa totalité, je vous renvoie sur le lien d'un media Québécois, La Metropole, qui a pris l'heureuse initiative de le diffuser sans tomber dans le chaos médiatique de la manipulation de l'information.

Publié dans Vie quotidienne

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article